L’Afrique est un continent magnifique vivante malgré les blessures de l’histoire la traite des esclaves la colonisation qui à laisser des traces, l’Afrique reste toujours debout elle à apporter à l’humanité sa richesse ses inspirations sa force qui réside dans sa culture son arts et toutes ses créations artistiques ses couleurs ses peintures ses motifs traditionnelles ses sons sa musiques son rythme et ses saveurs.

Conscient de cette réserve infinie et intarissable O.B .A. à décider de créer un département promotion GLOBAL ARTS ET EXPRESSIONS CULTURE AFRICAINE pour œuvrer sans relâche à la promotion de l’art de la musique toutes expressions culturelles africaines dans le monde.

Pour réussir dans cette mission nous conjuguerons nos effort avec tous les Africains et afros descendants du monde qui par leur connaissance de la musiques et des arts peuvent expertiser chaque produit expression culturelle pour lui affecter sa valeur Exacte pour réguler le marché de l’art et de la musique affecter des cottes au artistes musiciens et peintre africains pour leur garantir une bonnes vente à sa juste valeurs leur œuvres produits culturelles ou dans la musique ou d’autres expressions exploité rationnellement notre interdépendance pour travailler ensemble pour réussir cette mission.
Vous trouverez dans notre galerie une vidéo de l’intervention et la proposition inédite de l’ambassadeur KEITA Cheick à la conférence internationale PARIS PEACE CONFERENCE ou il à proposer la création d’un fond de retour des patrimoines historiques Africain spolier aux pays africains depuis des siècles afin de pouvoir construire des infrastructures d’accueils des musées adaptées pour la conservations des ses trésors dans les bonnes condition à leur retour en Afrique
L’art africain intègre les trois éléments de l’univers : la nature, l’homme et le divin. Il vise non pas l’individu isolé, mais l’homme intégré, profondément solidaire du groupe et de la communauté (L.S.Senghor 1969)

Pourquoi les gens aiment l’art ?

1 L’Art nous fait du bien : il rend amoureux !

La réponse de notre cerveau est étonnante puisqu’il sécrète de la dopamine, la même hormone présente dans l’état amoureux ! … Elle démontre de façon irréfutable combien l’art stimule nos émotions intimes et profondes.

Qu’est ce que permet l’art ?

L’art regroupe les œuvres humaines destinées à toucher les sens et les émotions du public. Il peut s’agir aussi bien de peinture que de sculpture, vidéo, photo, dessin, littérature, musique, danse…

Quel est le rôle de l’art dans la société ?

L’Art est essentiel à la santé de la société. Selon le philosophe Jean-Paul Sartre, son rôle est de proposer au spectateur un portrait de sa société, de sa réalité, afin que celui-ci puisse développer une conscience de sa propre condition et des multiples réalités de son environnement

Quelle est l’importance de l’art africain ?

On pourrait dire : les Afriques, étant donné la diversité des civilisations et donc des styles, mais il y a aussi une unité de l’art africain. … C’est un art qui fait le lien entre esprits et hommes, reliant l’invisible et le visible.

Quelle est l’importance de l’art ?

L’art peut montre idées sur le passé, ce qui s’est passé ces derniers temps, ce qui se passe actuellement et quels mai se produire dans l’avenir. … L’art peut montrer des idées sur la société, quelque chose de bien ou quelque chose de mauvais.

L’art africain , distinct de l’art contemporain africain, se manifeste sous une multitude d’arts, souvent associés. La musique et la danse, la réalisation de nombreux types d’objets, sculptés, éventuellement enduits, peints ou produits par assemblage de nombreux éléments, ainsi que les arts du corps (coiffures, parures corporelles, scarifications, tatouages) peuvent présenter un caractère artistique dans l’Afrique traditionnelle.

Le vaste espace de l’Afrique a donné lieu, au cours de son histoire, à des pratiques sociales et créations artistiques générées le plus souvent par une certaine population à un moment de son histoire. Certaines de ces créations artistiques ont pu aussi être partagées par plusieurs populations. En raison des déplacements des uns et des autres, de nombreux traits de culture ne sont pas nécessairement spécifiques ni immuables. Récemment, des études précises ont pu remettre en cause l’identité attribuée à certaines populations au xixe siècle, avec un style artistique spécifique attribué au xxe siècle, comme celui identifié en tant que senufo9. La répartition de ces populations est cependant variable, certaines pouvant être homogènes localement, d’autres seront séparées par un ou plusieurs autres peuples, ou parfois dispersées sur un très vaste territoire. Le concept d’ethnie a fait l’objet d’études critiques. Le terme d’art tribal, proposé par l’anthropologue William Fagg  dans les années 1950, est encore retenu par Babacar Mbaye Diop en 2018 , ce qui permet d’étudier chaque style tribal constitué par les traits communs à toutes les productions artistiques dans la tribu en question.

Des arts de l’Afrique ancienne il ne reste que des objets pour en témoigner. La plus ancienne céramique d’Afrique subsaharienne apparait vers 10 000 AEC, dans l’actuel Mali, sur un site d’ Ounjougou recevant les premières moussons après la période dite du Grand Aride, au début de l’Holocène. Ces céramiques portent un décor imprimé . En 2012 les plus anciennes formes de peintures et gravures africaines actuellement datées, l’art rupestre du tassili n’Ajjer ont, environ, 9 à 10 000 ans BP. La recherche archéologique, souvent difficile, continue d’apporter de nouvelles formes d’art ancien, dans leur contexte, ce qui permet de les dater et de les situer au sein de leur culture d’origine pour une meilleure compréhension de l’histoire des habitants d’Afrique.

Le premier théoricien de l’art africain, Carl Einstein, écrit en 1915 « Certains problèmes qui se posent à l’art moderne16 ont provoqué une approche plus scrupuleuse de l’art des peuples africains » […] « [on a y rarement] posé avec autant de clarté des problèmes précis d’espace et formulé une manière propre de création artistique »17.

De nombreuses études ne cessent de se pencher sur la réception occidentale des arts africains. Celle-ci repose largement sur le travail initial des ethnologues, puis sur les questions d’esthétique débattues entre artistes et théoriciens, ainsi que sur le travail des marchands d’art et la diffusion de ces formes, enfin avec la passion des collectionneurs. L’ethno-esthétique et la philosophie de l’art se sont emparées de ces questions, en France depuis les travaux de Jacqueline Delange (1967) et Jean-Louis Paudrat (1988).

La conservation d’œuvres d’art africain en musée était autrefois inconnue sur ce continent, les œuvres ayant des vocations religieuses ou politiques, ou une fonction utilitaire dans la vie quotidienne. Paradoxalement, le fait que nombre de ces œuvres aient été conservées sur d’autres continents, notamment en Europe, a permis leur préservation. Le travail préalable à la restitution à l’Afrique de son patrimoine est en cours.